C’est un solo de Cat Anderson qui a fait tomber Ludovic Florin dans le jazz. Ayant appris la trompette, il parvient à intégrer la fanfare d’Eddy Louiss (malgré sa maîtrise approximative du registre aigu). La perte de son instrument dans le train Amiens-Paris le change en pianiste autodidacte. Par la suite, il devient enseignant à l’Université de Toulouse et collaborateur à Jazz Magazine.